Le diagnostic des maladies parodontales prend en compte différents facteurs de risque tels que le tabagisme, le stress, les maladies d'ordre général, la prise de médicaments et l’état immunologique.

Diagnostic clinique :

Il s'agit d'un bilan complet de l’état dentaire et du degré de destruction parodontale.
Les gencives, la mobilité et  l’engrènement des dents sont examinés.

Diagnostic radiologique :

Un bilan radiographique complet est indispensable pour évaluer la perte osseuse et surtout apprécier l’os résiduel.

Diagnostic biologique (test microbiologique) :

Tous les patients atteints d'une maladie parodontale n’hébergent pas la même flore microbienne sous-gingivale. Les prélèvements bactériologiques complètent la phase diagnostique et permettent d’affiner le diagnostic et/ou d’évaluer le succès du traitement : préciser la nature des bactéries et la charge bactérienne en cause, orienter le choix de l’antibiotique, contrôler le succès des traitements entrepris.  

L’ensemble de ces examens permettent au praticien d’établir son diagnostic et le plan de traitement.